Souffrance...

J'aimerais ne plus regarder les couples de cette façon, ne plus avoir à les envier.
Quelle est la chose que je cherche au juste ?
Pourquoi ne pas être satisfaite juste... comme ça ?
Des épaules... sur lesquelles je pourrais m'appuyer. Des bras... qui me serraient si fort, à m'étouffer. Un torse sur lequel je pourrais poser ma tête et oublier.
C'est ce que je cherche, c'est toi que j'attends toujours et encore.
Je t'avais trouvé ombre parmi les ombres, je t'avais cherché.
Il a fallu, je ne sais trop pourquoi, par un caprice du hasard ou de ta part que tu changes visiblement d'avis à mon sujet. Désagréable, froid, distant, voilà ce que tu es devenu, voilà ce que j'ai ressenti.
Puis une fille a pris place dans ta vie, une place que je convoitais à un tel point que s'en était insupportable.
Oui je suis jalouse, certes, mais c'est ton choix , je le respecte.
Je t'aime quelque soient tes choix, si tu es heureux cela me suffit.
Je ne regrette qu'une chose et je t'en veux pour ça, je ne te comprends pas...
Que tu en aime une autre, certes, peut importe si je souffre, mais pourquoi ? Pourquoi avoir changé ton regard sur moi ? Tes paroles envers moi ? Toi qui me semblait si doux, si agréable, si gentil.
Toi qui me disais : « C'est toujours un plaisir de te voir ».
Alors pourquoi être devenu si froid ? Je ne te comprends pas.
Pire qu'une femme jalouse, c'est une femme amoureuse dans l'incompréhenssion totale que tu as laissé...
Dis moi juste la vérité et je te laisserais en paix.
Pourquoi d'un seul coup et sans raison t'es tu mis à me détester ?
Ne me dis pas que c'est à cause de cette fille, ce serait mal avisé.
Que tu sortes avec elle ou non, que tu l'aimes ou pas.
Cela n'excuse en aucun cas ta froideur envers moi.
Je ne te demandais pas la lune, ni tes bras autour de moi mais juste un sourire et un « merci d'être là ».
A présent tu as tout gâché et je ne » sais plus si je dois te détester ou t'aimer...
En réalité je t'aime que ce soit une autre ou pas qui soit à tes côtés.
Mais sauf si tu te remets à me sourire, je ne te pardonerais pas ta conduite.

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